Notre village/LA HALLE/Marché

LE CRIEUR

Le crieur public est une personne chargée d'annoncer au public de l'information. Profession généralement itinérante, sa fonction consiste à se promener dans la localité, s'arrêter à certains endroits (place publique, balcon de l'hôtel de ville appelé bretèche, carrefour, parvis des églises), annoncer sa présence par un appel sonore (tambour, clochette, trompette...) et commencer à lire son texte.

Son existence était importante dans l'Antiquité (notamment en Grèce), au Moyen Âge (consistant à annoncer des ordonnances royales ou des arrêtés municipaux, ce métier fut précédé par celui de garde champêtre ou de tambour de ville), et même jusque dans les années 1960 dans les villages suisses. L'Angleterre, le Canada et l'Australie ont encore un énorme contingent de crieurs publics avec un renouveau depuis 1980.


Vous pouvez d’ores et déjà déposer vos messages dans la boite aux lettres de la mairie ou à l'aide du formulaire ci-dessous, pour que le crieur lise vos annonces publiques.

Sa devise : " le crieur public de Moussy le Neuf, vos messages, mes cordes vocales "
Il se ravira de dicter vos missives

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LE SAVIEZ-VOUS ?

Le métier de rémouleur qui était encore très commun jusqu'à entre les deux guerres mondiales, a presque totalement disparu. En 2007, il n'en reste plus que 6 ou 7 à Paris, dont la moyenne d'âge est assez élevée. Après leur départ à la retraite, il est presque certain que le métier aura disparu.
Le rémouleur se déplace avec sa petite charrette, brouette, ramoulette ou rabelette (Belgique) sur laquelle est fixée leur meule, dans les grandes villes, ou de village en village, s'arrêtant à chaque coin de rue en agitant sa clochette et en criant: « Rémouleur, rémouleur ! Repasse couteaux ! Repasse ciseaux ! ». Leurs cris et le crissement de leur meule sur le métal, faisaient dans le temps partie des bruits typiques des grandes villes.
Au début du xx siècle, en Europe, le métier de rémouleur était une spécialité des Yéniches, surnommés aussi "Tziganes blancs".
Le rémouleur, comme de nombreux autres petits métiers, est victime du progrès (les couteaux en inox s'usent moins vite) et de la société de consommation (avec l'automatisation et l'importation de pays en voie de développement, le prix des couteaux a chuté et ne justifie même plus leur ré aiguisage).
Sainte-Catherine est la patronne des rémouleurs.

Le louchébem ou loucherbem dans son nom complet "LARGONJI" des louchébems (jargon des bouchers), désigne l'argot des bouchers parisiens et lyonnais de la première moitié du xix siècle.
Le louchébem reste de nos jours connu et usité dans cet univers professionnel.
Le processus de création lexicale du louchébem se rapproche du verlan et du javanais. On « camoufle » des mots existants en les modifiant suivant une certaine règle : la consonne ou le groupe de consonnes au début du mot est reportée à la fin du mot et remplacée par un « l », puis on ajoute un suffixe argotique au choix, par exemple -em/ème, -ji, -oc, -ic, -uche, -ès . Ainsi s-ac se mue en l-ac-s-éb-oucher en l-oucher-b-emj-argon en l-argon-j-i, etc.
Le louchébem est d'abord et surtout d'un langage oral, et l'orthographe en est très souvent phonétisée.

Le maraîchage s'est d'abord développé dans la proche périphérie des villes pour approvisionner les marchés en légumes frais, souvent dans des zones marécageuses (Zone humide), comme les hortillonnages d'Amiens, ou le plus souvent dans les plaines alluviales des fleuves comme les jardins maraîchers de la Baratte au bord de la Loire à Nevers. Ce type de maraîchage se caractérise par la petite surface des exploitations de type familial, par sa production diversifiée, et souvent par la vente directe traditionnelle, les maraîchers tenant eux-mêmes un étal dans les marchés locaux.
Au cours du XIX siècle et surtout du XX siècle, à cause des transports rapides, s'est développé un maraîchage spécialisé, sur des territoires plus éloignés, mais présentant des conditions climatiques ou pédologiques plus adaptées à certains types de cultures. C'est ainsi que certaines cultures sont associées à certains pays, association parfois même consacrée dans des appellations d'origine. On peut citer par exemple le melon du pays de Cavaillon, la tomate de Marmande, le muguet de Nantes, etc. Généralement dans ces bassins spécialisés, les exploitations sont plus importantes, tant en surface qu'en personnel, et commercialisent leurs produits par des circuits adaptés à l'échelle nationale ou internationale.

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